Bon maintenant Max et moi on va vous raconter une histoire pas comme les autres.
Léa et FF10
1er chapitre : Achat du jeuTout étais paisible dans cette rue du Puy en Gelée qui menait à Galaxy Games, le magasin perfide avec son vendeur encore plus perfide de jeux vidéos. Celui-ci était en train de jouer à FFXII, perfidement toujours.
Max et Léa entrèrent donc, leurs yeux se posèrent sur cette galaxie entière de jeux, plus ou moins perfides aussi (cf : Léa passion Vétérinaire). Rémi-le vendeur, alias galaxy-expliquait à Max sa progression perfide dans le jeu qui venait tout juste de sortir.
Max paya donc un jeu, Arc, puis ils restèrent dans le magasin à contempler les magnifiques boîtes qui faisaient à leurs yeux toute la différence. Puis Max eut l'idée perfide de contaminer Léa... aux Final Fantasy. Ce fut la plus grosse erreur de sa vie.
Leurs yeux se posèrent ensuite sur la belle boîte perfide Platinum du jeu FFX, puis Max se décida enfin à acheter ce jeu à sa bien-aimée Léa, pour le prix de 25€. Puis finalement ils rentrèrent chez Max...
2ème chapitre : Le trajetPendant le trajet, cette longue, voire interminable avenue amenant à Espaly, Léa frissonait à chaque fois qu'elle regardait ce sachet plastique bleu exceptionnel qu'on trouve dans toutes les grandes surfaces. Des fois elle se penchait pour essayer d'apercevoir le jeu, enfin la boîte, à travers ce superbe sachet translucide, que tenait Max.
A l'approche de la maison, Léa devenait de plus en plus hystérique...
3ème chapitre : Ouverture du jeuLéa n'en pouvait plus, c'était trop pour elle. Elle attendait impatiemment que Max parte au lycée pour se retrouver toute seule avec cette boîte, insignifiante, qui pourtant représentait une passion cachée et un avenir certain.
Lorsque Max fut enfin parti, Léa se dirigea vers le sachet bleu... translucide... le prit... le posa sur la table... l'ouvrit délicatement... et sortit la boîte.
Ca ne pouvait être que trop d'émotions pour Léa, qui essaya de se calmer en s'asseyant.
Elle prit dans ses mains cette boîte, encore enveloppée du film plastique transparent, à l'odeur si agréable... elle l'approcha de son nez pour mieux le sentir. Puis délicatement elle commença à enlever le film... à la méthode '"galaxy". Elle hésita à toucher la boîte elle-même, puis la reposa, prenant peur de l'abîmer. Ayant repris ses esprits, elle s'approcha de nouveau et posa ses doigts sur la boîte... elle la prit... la regarda dans ses moindres détails... le moindre pixel en trop, Léa le remarquait. Elle regardait Yuna, la couleur de ses cheveux (en s'apercevant qu'elle était blonde !), le tissu de ses habits... Elle lut les petites inscriptions qui ne voulaient rien dire... Mais, ayant des problèmes aux yeux, elle alla chercher une loupe et lut tout attentivement, la prévention d'épilepsie, TOUT !
Puis elle ouvrit la boîte... Une odeur forte et agréable se dégagea, tel un souffle en pleine figure de la jeune adolescente de 15 ans. Celle-ci la referma tout de suite. Puis quelques minutes après elle rouvrit cette boîte, qu'elle avait, quelques instants auparavant, pris en photo sous tous les angles. Le jeu apparut aux yeux de Léa. Elle le contempla, lut les inscriptions puis toucha le livret du bout des doigts... avant de le prendre soudainement et de le renifler. Elle ouvrit cette oeuvre d'art, encore plus précieuse qu'un livre de Victor Hugo, qu'un tableau de Léonard de Vinci... puis le lut, elle lut tout ! Jusqu'au dernier caractère ! Même la dernière page, avec les numéros perfides ! Léa les apprit par coeur, avant de ranger le livret et de s'interesser enfin au jeu...
Moment important dans l'histoire de Léa. Elle toucha ENFIN le disque, puis, après un moment d'hésitation, appuya sur le bouton pour faire sortir le jeu de la boîte... Elle le prit délicatement. Le reposa tout de suite. Puis se rendant compte qu'elle aurait pu rayer le disque, elle se mordit les doigts jusqu'au sang. La douleur apaisée, elle reprit le jeu de cette manière que seuls elle et galaxy connaissaient, puis le contempla dans ses moindres détails. Puis, tout à coup, elle le retourna. Aucune rayure. Léa regretta d'avoir perdu trois doigts pour rien. Puis elle se retourna et regarda la Ps2 de Max... la grosse ps2, dont elle ne savait pas se servir...
La suite quand j'y jouerai.